Poids.
La conception matérialiste repose sur les perceptions des sens et des instincts.
Ainsi, il a conquis la nature, la définition de l'énergie, des électrons, des
charges électriques, le modèle planétaire, le « microcosme » comme copie
du système solaire et de l'univers. L'idée de conquête, de combat et de
guerre perdure encore aujourd'hui. Le développement chaotique, favorisant
l'égoïsme, était une erreur, comme le démontrent les conséquences actuelles.
L'énergie est une quantité vectorielle, résultant des interactions de propriétés
vectorielles. « L'énergie, fonction de l'état de la matière », est en réalité une
façon de transformer les interactions vectorielles, de l'énergie. La matière
elle-même est une structure résultant de l'interaction de propriétés vectorielles,
de l'énergie. Les polarités de l'espace vectoriel forment, par les interactions
de propriétés vectorielles, des circuits vectoriels orthogonalement fermés, et
leurs forces centripètes se compriment mutuellement, formant une structure
microscopique solide. Cette structure solide est appelée matière, atome,
hydrogène, par la conception matérialiste, qui, par son énergie, forme les
éléments, les objets de l'univers. L'univers est donc constitué de structures
formées par les interactions de propriétés vectorielles, d'énergie ; l'univers
est un espace vectoriel. Les circuits vectoriels orthogonalement fermés de la
Terre sont formés à partir des polarités de l'espace vectoriel et sont appelés
électrique et magnétique. Ainsi, les forces centripètes de ces circuits sont un
espace vectoriel, orientées dans des « tissus » électriques et magnétiques
« orthogonaux » qui se déplacent vers le noyau électrique de la Terre.
Ce déplacement concentrique augmente exponentiellement la densité des
circuits vectoriels et de la matière, comme en témoigne la chute puis la
compression des corps, appelée poids. Ainsi, le poids est induit sur le corps
par la force de l'espace vectoriel, orientée et déplacée par ses circuits
électriques et magnétiques orthogonalement fermés, vers le noyau électrique.
Poids mesuré.
Le vol d'un avion est une interaction avec un espace inconnu de la
conception matérialiste, l'espace étant une quantité vectorielle :
l'espace vectoriel. La vitesse de déplacement de l'avion oriente les polarités
de l'espace vectoriel dans la direction et le sens du mouvement de l'avion
(circuits « électriques »). Les circuits parallèles se repoussent, formant un
canal dans lequel l'avion se déplace sans résistance : mouvement d'inertie.
Par conséquent, le mouvement de l'avion avec la vitesse interagit avec l'espace
vectoriel, produisant un mouvement d'inertie, en l'absence de force externe.
La force externe est le changement de direction du mouvement d'inertie au
décollage, formant l'angle d'attaque. L'angle d'attaque devient une résistance
à l'avancement de l'avion, une force opposée par l'espace vectoriel, en
modifiant la direction du mouvement d'inertie, fonction de la propulsion,
appelée portance. L'espace vectoriel orienté par la vitesse de l'avion et celui
orienté par l'accélération centripète sont normalement composés
vectoriellement, annulant l'accélération des forces centripètes (la chute),
stoppée par la portance, du décollage à l'atterrissage. La portance soutient
l'avion, comme la Terre, jusqu'à l'atterrissage. L'angle d'attaque est variable,
tout comme la portance (poids), jusqu'à l'atterrissage. Ces phénomènes,
jusqu'à présent obscurs, suggèrent l'absence à bord de l'avion d'un instrument
électrique, outre le 6, permettant de mesurer la variation de la masse de l'avion,
du décollage à l'atterrissage. L'instrument devrait être un capteur auquel est
suspendu un poids, tel un pendule amorti. L'inclinaison du pendule, fonction
de la variation de vitesse au décollage et à l'atterrissage, et du changement
de direction lors des virages, constitue l'information affichée à bord.
Je recommande aux pilotes d'avion, pendant le vol, d'offrir aux
passagers une balance mécanique, pour les divertir avec des surprises.
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