Divergence
La théorie corpusculaire de la matière, maintenant
le modèle corpusculaire de la matière, a une longue histoire.
Depuis l'Antiquité, Démocrite a découvert l'idée
de l'atome.
Aristote disait que la matière est composée de quatre éléments
: la terre ; l'eau; air et feu.
Depuis, la connaissance s'est développée avec la conviction
que la matière existe
sous forme de corpuscules à ce jour, chaque phénomène
devait être composé d'atomes.
La connaissance a évolué des éléments d'Aristote
à Dalton,
qui a identifié expérimentalement l'atome de gaz.
La surprise est venue de la découverte de l'atome d'électricité
négatif et de son fauteuil positif.
L'atome d'électricité a ouvert la voie à la découverte
des particules élémentaires.
En 1905, Einstein proposa le dualisme de la lumière, pour expliquer
le phénomène photovoltaïque, l'atome de lumière
étant appelé le photon.
Louis de Broglie généralise le dualisme corpuscule-onde à
toutes les particules matérielles.
Plus précisément, l'onde est à la fois le corpuscule
et l'onde.
Historiquement, on s'attend à ce que l'état fondamental de l'existence
soit la vague, l'énergie.
En appliquant l'interprétation corpusculaire en connaissant la structure
interne du soleil,
il a été estimé que le noyau du soleil a une température
de 15 millions de degrés Celsius.
En appliquant l'interprétation vectorielle, nous avons découvert
que le noyau solaire
a une température de munus 273 degrés Celsius et que lui, le
noyau
est le circuit électrique qui génère le champ magnétique
du système solaire.
Cet écart montre clairement que l'une des deux interprétations
est fausse.
Une analyse approfondie des modes d'interprétation suivra
et seuls leurs arguments décideront quelle interprétation est
erronée.
Le résultat de l'interprétation corpusculaire est la conséquence
de l'interaction des phénomènes à l'intérieur
du soleil,
en fonction des forces d'attraction gravitationnelle entre les atomes.
Le résultat de l'interprétation vectorielle est la conséquence
de l'interprétation des phénomènes
à l'intérieur du soleil, par les interactions de l'énergie
avec les propriétés vectorielles.
Quand l'une des deux interprétations disparaît, les phénomènes
de la nature ne changeront pas,
seulement dans notre esprit les phénomènes seront ou ne seront
pas plus clairs.