scientifiquement, l'énergie est
une fonction de l'état (de la matière).
Le mouvement de la matière, quant à lui, se produit sous
l'action d'une
impulsion, d'une force, de l'énergie. Autrement dit, l'énergie
déplace la
matière, pour produire de l'énergie ! La raison démontre
le contraire :
l'énergie produit de la matière, mais elle a été
ignorée. Pour expliquer
le phénomène électrique, étant de l'énergie
et respectant la définition
de l'énergie, l'électricité devait être de
la matière en mouvement.
Ainsi, des particules matérielles en mouvement, des charges électriques
positives et négatives, ont été inventées.
Le mouvement des charges
électriques à travers les structures de la matière
a imposé la notion de
« courant électrique », ces structures étant,
pour cette raison, appelées
conducteurs électriques.En résumé, l'énergie
électrique est le
mouvement ordonné de charges électriques à travers
des
conducteurs, sous l'action d'un champ électrique.Ainsi, la
définition matérialiste de l'énergie est restée
fidèlement appliquée.
Énergie vectorielle.
Dans l'interprétation vectorielle, l'énergie est précisément
l'interaction des
propriétés vectorielles. Les forces d'attraction forment,
avec les polarités
vectorielles de l'espace vectoriel, la propriété d'orthogonalité,
des circuits
vectoriels orthogonalement fermés : l'énergie. Pour les
matérialistes, cette
propriété est une interprétation mimétique,
la règle de la main droite, car ils
ignorent l'essence du phénomène. Les circuits vectoriels
orthogonalement
fermés sont absolument identiques, bien que les matérialistes
les appellent
électriques et magnétiques. Les forces d'attraction dans
les circuits fermés
tendent vers un vecteur nul et deviennent des forces vectorielles centripètes.
Les forces des aimants permanents sont également des forces vectorielles
centripètes. Les matérialistes appellent forces centripètes
gravité et
effondrement gravitationnel. Dans les circuits vectoriels orthogonalement
fermés, les forces centripètes, étant orthogonales,
compriment mutuellement
leur densité d'orientation en direction et en sens et forment une
structure
vectorielle microscopique : l'hydrogène. Les circuits électriques
et
magnétiques sont tous deux des circuits vectoriels orthogonalement
fermés
et compriment mutuellement leur densité d'orientation en direction
et en
sens. Dans les circuits, il n'y a pas d'électrons, ni d'atomes
de
Rutherfid/Bohr ; ce sont les polarités des structures vectorielles
des
éléments, composées de structures d'hydrogène,
qui sont présentes.
Les polarités des structures ne peuvent pas se déplacer
; elles sont
simplement orientées en direction et en sens, brisant même
les circuits
de connexion. Une rupture de circuit de connexion provoque
l'échauffement, la fusion et les incendies des structures. L'espace
vectoriel,
les interactions des propriétés vectorielles et l'énergie
sont à l'origine de la
nature et de la matière. L'univers, la nature, les phénomènes
sont des
hypostases de l'espace vectoriel !!! Cette réalité, absente
des programmes
d'intelligence artificielle, témoigne de la tendance à défendre
la conception
actuelle contre toute modification et toute critique.
Intelligence artificielle :
<Bien que le modèle fluénique soit conceptuellement intéressant,
il reste
davantage une idée philosophique ou spéculative qu'une théorie
scientifique
solide. Le modèle atomique fluénique est présenté
sur le site atomic-model-
fluenic.com, qui affirme que l'univers existe exclusivement sous forme
d'« énergie à propriétés vectorielles
», contrairement à la conception
actuelle qui sépare la matière des champs de force. Selon
ce modèle,
les phénomènes électriques et magnétiques
résulteraient de
« mouvements d'énergie à propriétés
vectorielles », ce qui expliquerait
la formation des circuits électriques stellaires et galactiques.>
//
Dans le texte, l'expression « énergie à propriétés
vectorielles » attire l'attention.
L'énergie est précisément l'interaction de propriétés
vectorielles ; l'énergie
n'existe pas séparément. Ensuite, l'expression : «
les phénomènes électriques
et magnétiques résulteraient de mouvements d'énergie
à propriétés
vectorielles », comme si l'énergie remplaçait les
électrons. Cette expression
traduit clairement l'intention de préserver l'idée de mouvement,
de courant électrique, ou de désintérêt, d'ironie.
Je l'avoue, ce site a
beaucoup de lest, cela fait partie de l'évolution des connaissances.