INTERACTION
VECTORIELLE CENTRIPETE
Accélération vectorielle centripète de la terre, compresse
sphériquement la substance.
Le gradient de pression généré par l'accélération
est aussi bien le gradient de potentiel électrique.
Un phénomène de comparaison est le phénomène piézoélectrique.
Le gradient de potentiel électrique est la polarisation de la substance
(ionisation).
Le processus ionisant de la substance, commence par l'ionosphère et
se termine dans le noyau.
Cette structure énergétique est donc la conséquence de
l'accélération centripète.
Parmi les effets de ces structures énergétiques, il y a évidemment
des décharges électriques.
Toutes les décharges électriques sont des interactions centripètes
plus petites ou plus grandes.
Dans l'ionosphère, les aurores, dans l'atmosphère, la foudre,
dans le sous-sol, les tremblements de terre, dans le noyau, le plasma.
La foudre
La surface de la terre et l'extérieur de l'atmosphère sont électriquement
équipotentielles.
L'atmosphère dans cet espace est déjà ionisée.
L'apparition d'un nuage dans un tel espace et sous l'action du potentiel électrique,
fait un ensemble de courants parallèles avec le même sens, donc,
l'interaction centripète.
Les courants n'étant pas distribués de façon homogène,
l'axe de l'arc suit la densité des courants et donc la forme d'un fleuve.
La substance complexe comprimée dans l'axe, est la traversée
par la densité de courant.
Dans l'axe, toutes les connexions moléculaires et atomiques, deviennent
des courants parallèles et lancent leurs propres interactions centripètes,
augmentant encore plus la densité du courant.
Les interactions centripètes continuent sans se terminer aussi bien
à l'intérieur de la terre,
proportionnelle à la densité et à la pression.
Ceux sous la croûte, les tremblements de terre, sont comme la foudre,
et ceux dans le noyau sont comme ceux dans le soleil.
Le plasma
L'interaction centripète transforme les courants de liaison dans la
substance, en radiations.
Interaction de vecteur centripète, ouvrir et fermer les courants de
liens atomiques.
L'ouverture et la fermeture du courant de liaison,
sont elles-mêmes des interactions centripètes qui produisent
l'état plasmatique.
L'ouverture ou la fermeture, produisent la même interaction (énergie
cinétique)