L'esprit et la matière
sont une seule et même nature
- les courants des vecteurs -
Différends idéologiques sur
l'esprit et la matière, a produit la culture de la civilisation actuelle.
La philosophie de l'idéalisme nie l'existence de la matière.
L'idéalisme considère que le monde il n'y a que l'esprit (mais
qu'est-ce que c'est l'esprit?).
La philosophie matérialiste reconnaît l'objectivité
de la matière, des particules atomiques,
qui ne peuvent être divisées (mais quelles sont les particules
atomiques?)
Dalton identifie l'atome et établit la conviction que toute
existence sont des structures atomiques.
Dalton a constaté que les atomes s'unissent ensemble par des
forces électriques, des "liaisons chimiques"
(Qu'est-ce que l'électricité?)
L'atomisme logique promu par Bertrand Russell affirme que
le monde
consiste en des faits logiques (atomes) qui ne peuvent être divisés.
Cette tendance s'est développée en mathématiques, en
théorie des ensembles, en linguistique, etc.
Considérations actuelles
L'esprit est l'âme, la vie (l'essence immatérielle,
divine) - l'âme survit à la mort.
Les particules matérielles fondamentales sont des "quarks".
L'électricité, sont des atomes d'électricité
(électrons).
Nature de la matière est inconnue, est supposé être
double (onde - corpuscule).
Réponse vectorielle
L'esprit est
un courant vectoriel de liaison.
Les particules de matière, sont des oscillations des courants
vectoriels orthogonaux.
L'électricité, sont des courants de vecteurs orthogonaux
(électriques et magnétiques).
La nature de la matière sont des courants vectoriels, comme
l'esprit,
qui oscillent à différentes fréquences
(alors, l'esprit et la matière sont de même nature - les courants
de vecteurs)
Arguments
L'électron est la plus grande erreur de connaissance.
Les charges électriques, les polarités indépendantes
d'un vecteur sont un paradoxe.
La gravité est aussi un paradoxe.
Le principe physique découvert par Bernoulli indique que la
pression de fluide sur les parois du tuyau
diminue proportionnellement avec la vitesse d'écoulement du fluide.
Ce principe est le paradoxe hydrodynamique.
Le paradoxe est que la pression directionnelle produit une "dépression
transversale" (orthogonale).
Le paradoxe de l'hydrodynamique est similaire au paradoxe de la gravité,
où la pression d'une atmosphère à la surface de la
terre résiste aux millions d'atmosphères du centre.
Interprétation vectorielle
La pression d'air dans un ballonnet est uniformément répartie
sur la surface intérieure car elle est une taille scalaire.
Le mouvement du fluide avec la direction et la vitesse dans un tube,
change la taille scalaire en tailles vectorielles (orthogonales).
L'écoulement directionnel du fluide génère des courants
vectoriels orthogonaux (transversaux)
(Par conséquent, l'accélération centripète).
De même, le courant électrique directionnel, produit un courant
magnétique orthogonal (force centripète).
Le courant vectoriel produit par la rotation de la planète,
produit des courants magnétiques orthogonaux (et une accélération
centripète - gravité).