Les circuits vectoriels
orthogonalement fermés, comme on le voit sur
le dessin, par leurs forces de compression, orientent mutuellement
la direction et le sens des polarités vectorielles. Les forces
vectorielles
centripètes dans cette structure, appelées dogmatiquement
force
électromagnétique, Lorentz, Laplace, etc., forment l'hydrogène
et les étoiles
- l'existence de la nature. Les microstructures vectorielles bipolaires
sont
spécifiques aux éléments ferromagnétiques,
qui peuvent être orientées dans
n'importe quelle direction. Soumises à un champ magnétique
externe,
les polarités des microstructures inversent les liaisons dans l'élément,
dans la direction et le sens du champ externe. Les forces vectorielles
d'attraction, conservent la nouvelle orientation et l'élément
devient
magnétiquement polarisé, mais, reviennent aux liaisons dans
l'élément,
s'il est chauffé. Magnétique, car, dans l'élément,
les liaisons vectorielles
ne sont pas continues, ce sont des liaisons ouvertes dans les microstructures.
A l'extérieur, les pôles de l'élément polarisent
l'espace vectoriel et forment
le champ magnétique, un circuit vectoriel ouvert à l'intérieur
de l'élément.
Raison pour laquelle, ils ne peuvent pas générer un circuit
vectoriel
orthogonalement fermé. En respectant l'identité vectorielle,
la même structure est montrée aux électrets.
La différenciation est la nature des éléments constitutifs.
La structure du soleil.
Le soleil est formé de circuits vectoriels orthogonalement fermés,
l'essence du fonctionnement de la structure des corps microscopiques
et macroscopiques. Dans le cas des structures macroscopiques, du soleil,
j'appellerai le circuit électrique, circuit interne et le
circuit magnétique,
circuit externe. La cause de l'augmentation exponentielle de la
pression
est les forces vectorielles centripètes - pression vectorielle.
Les effets sont des couches de substance, avec des températures
et des
densités différentes. Vers le circuit interne, la pression
vectorielle monte
à des centaines de milliards de bars. Dogmatiquement, les conséquences
de cette pression produisent des réactions de fusion à haute
température,
ignorant la démonstration de Camerlingh Onnes. En analysant les
effets
de l'augmentation exponentielle de la pression, sur un rayon de 700 000
km,
on découvre une structure interne du soleil, complètement
inconnue.
A la surface de la sphère solaire, la pression dans la couche atmosphérique
de plusieurs milliers de km, produit des interactions turbulentes, l'activité
solaire.
Cette couche appelée chromosphère est aussi une véritable
sphère acoustique,
avec des milliards de tonnerres et d'éclairs. Dans la couche suivante
appelée
photosphère, l'augmentation de la pression intensifie les interactions
dans
le plasma, produit un rayonnement immense et les atomes d'hydrogène
se multiplient. La photosphère devrait décrire, selon le
dogme, une pente
croissante d'énergie cinétique et de température.
Mais, après avoir atteint un
maximum thermique, elle décrit une courbe descendante, dans les
300 000
km vers le circuit interne. La photosphère se révèle
être une immense source
d'énergie cinétique, convertie par la pression vectorielle
centripète en énergie
potentielle du circuit interne. Depuis la zone de maximum thermique, une
transition lente se produit, la pression décompose le gaz en oscillations
orientées et incluses dans les circuits orthogonaux. Les propriétés
physiques
des circuits orthogonaux se révèlent dans les applications
maglev.
Cela ne veut pas dire que le soleil est une sphère creuse, recouverte
d'une
couche de plasma. Les circuits orthogonaux sont des quantités vectorielles
à basse température. L'intérieur du soleil est rempli
de la densité du circuit
externe, proportionnelle à la pression vectorielle vers le circuit
interne, qui
produit la transition énergétique. Personne ne comprend
quelles propriétés
physiques prend le circuit externe à l'intérieur du soleil,
où par ses forces il se
comprime en lui-même, à des centaines de milliards de bars.
Les circuits
interne et externe sont indivisibles, ils ne peuvent exister l'un sans
l'autre.
De même, les polarités des vecteurs ne peuvent exister indépendamment,
à ne pas confondre avec les polarisations des corps. Le circuit
externe est
appelé dogmatique, énergie sombre et le circuit interne
est appelé trou noir.
Cette structure est observée au centre des galaxies, comme une
connexion
aux bras. Le circuit interne du soleil ne comprime qu'un segment du circuit
externe, formant l'axe du circuit externe, avec les pôles nord et
sud, qui à leur