Civilisation, savoir et biosphère
L'énergie, les interactions des propriétés vectorielles, composent des circuits
vectoriels ouverts, formant des potentiels linéaires avec des bornes plus et moins.
Ces potentiels sont des polarisations statiques ou dynamiques de l'espace
vectoriel, qui disparaissent très rapidement si elles ne sont pas entretenues
par leurs sources chimiques ou dynamiques. Les polarisations statiques sont
générées par des sources chimiques, le générateur de Van de Graaff
et l'accélération centroïdale PER (elles sont l'état potentiel de l'énergie).
Les polarisations dynamiques sont des ondes vectorielles et des circuits
magnétiques (elles sont l'état cinétique de l'énergie). Dans les polarisations
statiques, la force d'attraction élémentaire est maximale et représente l'état
potentiel de l'énergie. La force élémentaire étant variable, l'état de potentiel est
maintenu tant que les vecteurs du circuit sont colinéaires. A l'écart de la
direction colinéaire, à la courbure de la direction, les forces élémentaires
diminuent et l'état potentiel devient cinétique. La tendance des forces
élémentaires à revenir à la force maximale, produit la variation de la courbe
et l'alternance des états cinétique et potentiel de l'énergie, oscillations qui
polarisent l'espace vectoriel sous forme d'ondes vectorielles (EM).
La variation de la courbe détermine l'amplitude et la longueur d'onde, et les
polarités des tangentes à la courbe déterminent le déphasage, respectivement
la propagation sinusoïdale des polarisations (des ondes) dans l'espace vectoriel.
Dans les circuits vectoriels microscopiques orthogonalement fermés, les
oscillations sont l'alternance d'énergie cinétique et potentielle entre les deux circuits.
Dans les circuits vectoriels macroscopiques fermés orthogonalement, l'un
des circuits est cinétique (magnétique) et l'autre potentiel (électrique), généré
par le circuit cinétique, qui à son tour est généré par le circuit de potentiel
(le phénomène est similaire dans les bobines électromagnétiques sans oscillations) .
Évidemment, ces phénomènes sont des interprétations de l'énergie avec des
propriétés vectorielles. Il faut reconnaître la nécessité d'introduire dans
l'éducation les nouvelles interprétations des phénomènes de la nature dans
lesquels nous vivons. Les nouvelles interprétations des phénomènes naturels
s'adressent non seulement aux spécialistes, mais aussi au grand public
concerné par ces phénomènes. Le besoin de connaître les phénomènes
physiques et chimiques à l'échelle de la planète sur laquelle nous vivons
est d'actualité, alors que « nous payons déjà de l'existence »,
pour ignorer les interactions excessives avec la biosphère.
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Pour la force élémentaire j'ajoute un autre exemple pratique :
L'aiguille d'une boussole, véritable composant du circuit de champ magnétique
(vectoriel), oscille visuellement sous l'action de la force élémentaire maximale,
afin de la fixer colinéairement avec les lignes du champ magnétique
(avec le circuit vectoriel). L'accélération centroïdale agit également
sur l'aiguille de la boussole, étant ainsi traversée par les lignes du champ
magnétique à la vitesse de la lumière, accélération qui se transforme en poids.
Cet exemple explique également la cause de la force centroïdale.
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