Le mouvement des planètes
sur leurs orbites.
Le soleil entraîne les planètes sur leurs orbites, avec les
forces magnétiques
et les polarités électriques radiales (REP), en interactions
continues avec
celles des planètes. Le mouvement des planètes ne peut pas
être inertiel,
leur vitesse étant la variation des forces d'interaction, gardant
l'équilibre.
Par conséquent, les planètes sont entraînées
en état dapesanteur, en tout
point de lorbite, en raison de cet équilibre des forces.
Évidemment, les
planètes à leur tour, ayant les mêmes structures et
phénomènes que le soleil,
peuvent générer des familles de satellites. Dans le cas
de la planète Terre,
le mouvement des objets en chute centripète est stoppé par
les gaz
atmosphériques et le sol, appelés friction, respectivement
poids.
Les forces vectorielles centripètes sont des couples diamétralement
opposés,
qui génèrent vers le centre, l'augmentation exponentielle
de la densité
d'orientation des polarités vectorielles, de pression, d'énergie.
L'énergie terrestre se manifeste extérieurement, à
travers les forces
magnétiques et les polarités électriques radiales
(REP), en interaction
avec celles du soleil. Ces interprétations démontrent que
la Terre est en
état dapesanteur, le poids étant linteraction
de deux forces opposées.
Dans lunivers il nexiste que des structures dinteractions
de propriétés
vectorielles appelées énergie. L'univers montre une réalité
impossible
pour la conception matérialiste.
Généralités.
L'énergie est constituée des interactions des propriétés
vectorielles de l'existence,
appelées espace vectoriel. L'énergie forme des circuits
vectoriels
orthogonalement fermés, qui oscillent et se répètent
lors de la reproduction.
Les oscillations prennent différentes formes appelées matière.
La matière
organise différentes structures, diversifiées en minérales
et organiques.
Les structures minérales et organiques ont des évolutions
pulsées et se
reproduisent. L'évolution d'un pouls est unique, appelée
vie. La vie est un
paramètre doscillation appelé temps. Le
froid et le chaud sont les limites
de fréquence entre lesquelles oscillent les circuits vectoriels.
L'univers est