Comment l'énergie solaire produit la vaporisation de l'eau.
Interprétation vectorielle.
Le mouvement ascendant de la vapeur d'eau génère un vortex appelé cyclone.
L'évaporation de l'eau est produite par l'énergie solaire (il n'y a pas
d'explications !). La conception matérialiste ne peut pas expliquer
l'évaporation de l'eau irradiée par le soleil. Deux circuits vectoriels
orthogonalement fermés compriment mutuellement leur densité et forment
une structure solide et froide appelée matière, atome d'hydrogène.
L'atome est solide en raison du petit volume et de la forte densité des circuits
orthogonaux et "froid" car il n'a pas d'oscillations, étant dans l'état potentiel
d'énergie. Les atomes étant tétrapolaires, polarisent sphériquement l'espace
vectoriel qui les entoure, à travers lequel ils réagissent aux stimuli externes ou,
des circuits fermés qui les relient les uns aux autres. Deux atomes
d'hydrogène ne ferment qu'un seul circuit entre eux, une liaison moléculaire.
Quatre atomes d'hydrogène ferment tous les circuits vectoriels entre eux et
leurs forces centripètes produisent des liaisons nucléaires fortes, l'élément
hélium. Ainsi, l'hélium constitue, comme l'hydrogène, une unité dans la
formation des éléments. L'atome d'oxygène est une structure d'atomes
d'hydrogène, avec des liaisons nucléaires. Les liaisons incomplètes entre un
atome d'oxygène et deux atomes d'hydrogène forment une molécule d'eau.
La densité de l'eau est variable avec les oscillations des liaisons moléculaires.
Les oscillations des circuits vectoriels moléculaires sont appelées chaleur.
La chaleur, la couleur, la lumière sont des oscillations de l'espace vectoriel,
ce sont des interactions de propriétés vectorielles, d'énergie cinétique et rien
d'autre. Le fait que dans un récipient, de l'eau chaude monte au-dessus,
montre que l'amplification des oscillations moléculaires a diminué la densité
de l'eau. Les fréquences des oscillations vectorielles du rayonnement solaire
entrent en résonance avec celles des liaisons moléculaires et nucléaires.
La résonance convertit de l'énergie potentielle, l'énergie cinétique (Lavoisier).
L'augmentation de l'énergie cinétique a diminué la densité de la vapeur d'eau.
Nous observons avec nos sens la montée de la vapeur d'eau (de l'air chaud).
La densité de l'espace vectoriel dans la vapeur monte jusqu'à la densité
naturelle similaire, disait Aristote, poussée de bas en haut, par la force
d'Archimède. Les oscillations de la vapeur d'eau sont amorties, elles se
refroidissent et la densité de vapeur revient à l'état liquide et comme le dit
Archimède, elle s'enfonce dans l'espace vectoriel sous forme de pluie.
En conclusion, la circulation de l'eau est le mouvement de la densité de
l'espace vectoriel, la substance étant la structure dans laquelle la densité de
l'espace vectoriel change. L'ascension de l'air chaud dans l'atmosphère
polarise l'espace vectoriel verticalement et ferme orthogonalement les circuits
vectoriels. Dans les circuits orthogonalement fermés, les interactions des
propriétés vectorielles produisent des forces vectorielles centripètes et une
rotation axiale des vecteurs orientés verticalement, la rotation étant
différentielle, vortex. Maintenant, nous savons que le vortex n'est qu'apparent
de la substance, la substance étant des structures vectorielles, des objets, qui
sont portés par les forces de l'espace vectoriel. Le vent, "différences de
pression atmosphérique" fait partie des circuits orthogonalement fermés à
grand rayon, l'espace vectoriel portant la substance de l'atmosphère.
La Terre est un vortex, à rotation différentielle, avec des circuits vectoriels
orthogonalement fermés, dits électriques et magnétiques, dont les forces
vectorielles centripètes, ont donné la forme d'une sphère solide.
Vers le centre, les forces centripètes ont augmenté de façon exponentielle
la densité des circuits vectoriels orthogonalement fermés.
L'énergie de la rotation axiale des vecteurs orientés au centre de l'axe
magnétique dépend de la densité des circuits orthogonalement fermés.
La densité des circuits est maximale au centre de l'axe magnétique et
diminue proportionnellement au rayon, d'où résulte la rotation différentielle.
Ainsi, la rotation différentielle est une caractéristique des structures
vectorielles macroscopiques. Les effets de la rotation différentielle de la Terre
sont observables dans le mouvement de la Lune et dans les milieux liquides et
gazeux. Dans les milieux liquides, les océans et les eaux courantes, les effets
sont décrits par Coriolis. Bien que la vitesse angulaire augmente vers les
pôles, la vitesse linéaire (tangentielle) diminue. Vers l'équateur,
la vitesse linéaire augmente et la vitesse angulaire diminue.
La dépendance de la vitesse linéaire de rotation par rapport à la latitude
détermine le sens de rotation des tourbillons atmosphériques.

 

 

 

 

Pression atmosphérique.
La pression atmosphérique est la densité spatiale vectorielle, produite par
des forces vectorielles centripètes, augmentant de manière exponentielle
vers le centre. L'augmentation exponentielle vers le centre de la densité des
circuits vectoriels orthogonalement fermés, change successivement et
concentriquement, la phase de la substance, appropriée à la pression.
En bref, la croûte terrestre a un état solide, l'état énergétique étant
principalement potentiel. La phase suivante, l'état énergétique devient
équilibré, viscosité, liquide, gaz. Après l'état gazeux, l'énergie de la substance
devient exclusivement cinétique, oscillations. Dans la dernière phase, l'énorme
densité amortit l'orientation omnidirectionnelle des vecteurs (oscillations)
jusqu'à l'arrêt et les oriente exclusivement dans le sens des circuits
orthogonalement fermés. De cette façon, l'augmentation exponentielle de la
densité vers le centre convertit l'état cinétique de l'énergie en énergie potentielle
du noyau électrique à zéro Kelvin. L'énergie potentielle convertit à son tour
l'état potentiel en état cinétique : Les pôles magnétiques, étant des polarités
parallèles, se repoussent et polarisent curvilinéairement l'espace vectoriel
à de grandes distances, où ils s'unissent et reprennent la force centripète.
Le processus de conversion se produit en continu, à la vitesse de la lumière.

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