Démonstration
Les propriétés vectorielles sont l'essence de l'existence de la nature.
Les interactions des propriétés vectorielles, appelées énergie, prennent les
ormes objectives appelées matière et des interactions entre elles, appelées lois.
La démonstration réfute explicitement la loi de l'attraction universelle.
Le potentiel du générateur électrostatique sur la grande sphère, polarisant
radialement l'espace vectoriel environnant, polarise également la petite sphère.
L'attraction entre les polarités de l'espace vectoriel orienté successivement
entre les sphères sont exactement les forces qui attirent les sphères. Les polarités
vectorielles de l'espace entre les sphères ferment ainsi un circuit électrique
entre les deux capacités. Dans les circuits vectoriels fermés, les forces
attractives augmentent la densité en raccourcissant la longueur du circuit,
rapprochant les capacités de manière accélérée. L'attraction est mouvement,
la densité est parfois lumière, un arc électrique. Pour le potentiel électrostatique
terrestre, les petites capacités sont des objets matériels, la conductivité des
gaz atmosphériques (foudre) et des gaz souterrains (tremblements de terre).
Le potentiel électrostatique des corps dans l'univers est généré par l'état
cinétique de leurs champs magnétiques, avec des formes lenticulaires.
À son tour, la forme lenticulaire est déterminée par les forces répulsives entre
les polarités vectorielles radialement ouvertes des pôles magnétiques nord et sud.
Les polarisations polaires radialement ouvertes orientent l'espace vectoriel sur
de longues distances, fermant les circuits magnétiques et la forme lenticulaire.
L'onde centripète, l'état cinétique des champs magnétiques dans les circuits
fermés, génère les énormes potentiels électrostatiques dans la lentille.
Le magnétisme à ondes centripètes étant caractéristique des corps de
l'univers et leurs potentiels électrostatiques ont des orientations identiques.
Par conséquent, entre les corps, les potentiels électrostatiques sont des
forces de répulsion et non « d'attraction universelle ». Expansion, pas contraction !
Comme le montrent les systèmes stellaires et galactiques, ce n'est que dans
l'espace lenticulaire que les ondes magnétiques centripètes et le potentiel
électrostatique forment le spectre d'énergie vectorielle. Les corps de l'univers
sont des structures de circuits vectoriels orthogonalement fermés, des spectres
énergétiques condensés centripètes, qui se reproduisent. Le mode de
reproduction des circuits vectoriels orthogonaux fermés, on les observe
sur terre et sur le soleil, sous forme d'orages magnétiques,
de cyclones, d'ouragans, etc.
<
>