Résonance magnétique
et résonance électrique.
L'appareil RMN est fabriqué et utilisé avec des résultats
efficaces.
Il est clairement précisé qu'en RMN les expériences
sont réalisées
exclusivement sur les noyaux des atomes (en ignorant les électrons).
L'interprétation vectorielle du fonctionnement de l'appareil explique
les interactions de l'énergie avec les propriétés
vectorielles :
Les polarités vectorielles des atomes de l'échantillon seront
alignées de
force avec les polarités vectorielles plus fortes du magnétisme
appliqué
de l'extérieur. La radiofréquence superposée, également
de l'extérieur,
"module" avec sa fréquence l'intensité du magnétisme
appliqué, produisant
la résonance des atomes de l'échantillon, qui à son
tour modulera l'espace
vectoriel, avec son propre spectre d'oscillations. Le traitement de l'information
véhiculée par ces spectres est les images attendues, dont
la radiofréquence
a été supprimée à l'aide d'un filtre. Le principe
de fonctionnement de l'RMN
est relativement simple et similaire à celui du microscope électronique.
Dans le microscope électronique à transmission, le circuit
magnétique fort
est remplacé par un potentiel électrique fort.
Interprétation électronique :
Le faisceau d'électrons traversant un échantillon transporte
des informations
sur la structure interne de l'échantillon vers le système
d'imagerie.
Interprétation vectorielle :
Les phénomènes électriques et magnétiques
sont des hypostases d'énergie
à propriétés vectorielles. Les polarités d'une
pile électrique sont désignées
par plus et moins, et les polarités d'un aimant sont désignées
par le nord et le sud.
Dans les deux cas, les polarités sont des propriétés
vectorielles identiques :
divergence de la direction d'orientation (forces répulsives) et
propriété
d'orthogonalité indissoluble du circuit fermé (l'électricité
a un magnétisme
orthogonal et le magnétisme a une électricité orthogonale).
Ainsi, l'un des
circuits orthogonaux étant constitué de polarités
vectorielles (le circuit
magnétique) et l'autre circuit seront identiques. L'identité
des circuits et leur
dépendance mutuellement orthogonale sont à l'origine d'une
conversion
continue (macroscopique) ou alternative (microscopique) en états
d'énergie
cinétique et potentielle. Pour en revenir au fonctionnement du
microscope,
le fort potentiel (magnétisme) a son circuit orthogonal (électrique,
« rayon
de l'électron »), qui polarise l'espace vectoriel en direction
et sens, y compris
la structure de l'échantillon situé en circuit. La forte
polarisation électrique
est identique à celle du magnétisme RMN, seule la modulation
RF manque...
L'apport essentiel dans la réalisation de l'RMN, du microscope
et pas
seulement, appartient aux praticiens, aux expérimentateurs. Il
y a un mur
entre la pratique et la théorie. Pas le mur chinois, mais le mur
des charges
électriques. La pratique ne voit pas la théorie et la théorie
ne voit pas la
pratique, mais elle « s'adapte ». L'adaptation consiste en
des qualités
attribuées artificiellement aux électrons : le spin pour
produire du magnétisme,
la charge négative en mouvement pour produire de l'électricité,
ou les
qualités lumineuses pour le fonctionnement du microscope. Le microscope
fonctionne de toute façon vectoriellement et si on l'appelle un
"microscope
à pluie de grenouilles" Que serait la physique sans électricité
?
Que serait la Matière sans énergie ? Rien!!! On en déduit
que l'énergie avec
des propriétés vectorielles représente l'existence
absolue.
L'espace, le temps et la matière sont des interactions de propriétés
vectorielles,
d'oscillations d'énergie cinétique et potentielle (magnétisme
et électricité).