La précession
de la terre.
La précession et la rotation sont parfaitement illustrées
par « l'orbite »
du boomerang. Le phénomène sobserve également
dans la discipline
sportive du lancer du disque. Plus amusant, on le voit dans la jonglerie,
avec des assiettes et des yoyos. Voler, nager, patiner, marcher sont les
interactions des corps avec l'espace. L'environnement spatial, atmosphérique,
liquide, solide sont des densités d'espace. Dans l'interprétation
de la
conception matérialiste, les interactions, l'inertie, les lois
de la physique
sont des « phénomènes de la nature », point
barre. La précession
et la notion d'espace sont des énigmes pour la conception matérialiste.
L'existence de la nature.
L'existence sont les propriétés vectorielles, les interactions
entre ces
propriétés sont l'énergie, l'espace. On peut dire
que la forme fondamentale
de l'existence de la nature est l'énergie, l'espace. Les formes
matérielles sont
lespace, « lénergie en conserve ». Nous
connaissons le principe du
mouvement inertiel, mais nous nen connaissons pas la cause. La cause
est
l'interaction du mouvement de l'espace conservé avec l'espace environnant
(de la « matière » avec l'espace). Les polarités
de l'espace conservé en
mouvement orientent les polarités de l'espace environnant, parallèlement
à
la direction du mouvement. Les polarités orientées parallèlement
se repoussent,
fermant orthogonalement les circuits vectoriels et maintenant l'orientation
des polarités dans la direction du mouvement. Le mouvement du corps
se
retrouve entouré des circuits vectoriels de l'espace, « électromagnétiques
»
qui s'ouvrent devant et se ferment derrière le mouvement. L'espace
conservé
fermé dans les circuits orthogonaux se propage dans l'espace avec
les ondes
électromagnétiques - le mouvement inertiel. Le mouvement
inertiel rappelle
étonnamment l'explication du mouvement de la flèche dans
l'Antiquité.
La rotation de la Terre oriente les polarités de lespace
vectoriel environnant,
parallèlement à la direction de rotation, générant
des circuits vectoriels
orthogonalement fermés. Les circuits vectoriels orthogonalement
fermés
(électromagnétiques) se propagent circulairement dans l'espace
environnant,
solidaire de la terre, génératrice des circuits - inertie
rotationnelle.
La rotation de la Terre ne peut pas sortir du plan de rotation, l'espace
polarisé
ayant une rigidité, démontrée par l'expérience.
L'espace polarisé ouvre la
voie au mouvement de la terre uniquement dans le plan de rotation,
accompagné de la rigidité générée par
sa rotation. La rigidité est amplifiée
par la force centripète (« gravité »), qui augmente
la densité de l'espace,
devenant ainsi un puissant guide planétaire dans le mouvement orbital.
Lors de la séparation de la sphère solaire, les planètes
du système sont
reparties avec des rotations sans précession. Les premières
planètes aux
structures majoritairement gazeuses, les dernières aux structures
plus denses
et
la « ménopause ». L'évolution et les
interférences interplanétaires ont fait
basculer les axes de rotation. L'inclinaison de l'axe dépend de
la vitesse de
rotation, sans vitesse, libre d'inclinaison. Vénus circulait sans
vitesse et
paradoxalement, elle se renversait. L'interaction entre l'espace et le
plan de
rotation de la Terre, en mouvement orbital, est le graphe de mouvement,
la précession. La nutation inscrite dans le diagramme de mouvement
montre
les oscillations de la structure de la planète, comme les marées.
La nutation
démontre ainsi la cause de linclinaison axiale, la cause
de la précession !
L'inclinaison axiale a donc été déterminée
par le tumulte de l'activité de la
planète, dans son évolution de l'état gazeux à
l'état solide, avec le
détachement d'un satellite - la lune. Il est possible qu'une déflagration
nucléaire ajoute quelques secondes à l'inclinaison axiale
de la Terre.
Ce « est possible » démontre les limites de la conception
matérialiste :
La Terre est une masse de matière, une petite planète belle
et accueillante.
"Multipliez-vous" - Sans mots ...