Fluen => oscillations => corpuscule => vibrations => ondes
Sont bien connues les expérimentations de Christiaan Huygens concernant le phénomène de propagation des vibrations parties d'un centre sur la surface de l'eau, avec des "ondoiements" circulaires à la surface et ayant un "front d'onde circulaire". C'est une image "type" ou "modèle".
Huygens, a observé que la lumière a des propriétés d'onde, réflexion, réfraction et interférence. Seulement que, l'idée de rayon de lumière, à propagation en ligne droite, générait de la confusion et supposait la singularité, propriétés qui "ne s'accommodaient pas au modèle".
Exactement ces propriétés étaient argument dans la théorie corpusculaire de Newton.
La même discordance est constatée deux siècles plus tard, par Louis de Broglie. Il soutenait quant même , que la particule doit être "un paquet d'ondes spéciales, qui ne se dissipent pas dans l'espace".
Le modèle atomique fluénique, l'oscillateur double-tor (l'atome de hydrogène), est même un "paquet de Broglie", mais c'est un paquet d'espace polarisé - "ondes spéciales".
Il a structure, fonctionnement, établit aussi des propriétés de corpuscule, explicables logiquement et expérimentalement. La capacité de transition de l'énergie, absorption /émission, est partie intégrante des oscillations (fonctionnement et stabilité). Avec entrée par la polarité électrique (positive et négative) et la sortie par chacun des deux tor (induit des paires).
L'oscillateur émet sa propre fréquence, strictement dépendante de l'énergie absorbée (par le courant électrique !). C'est exactement le principe de fonctionnement de tout circuit oscillant de sortie, qui transforme les pulsations du courant de l'antenne, en oscillations de l'espace polarisé (ondes électromagnétiques). Tant l'oscillateur stationnaire émetteur comme l'oscillateur voyageur émis, sont des corpuscules, différenciés de l'amplitude de l'oscillation. L'amplitude étant l'énergie oscillatoire, qui peut être variable (de dilatation), ou fixe, totale (de propagation).
Les tor de l'oscillateur stationnaire transmettent leur énergie oscillatoire réciproquement, alternativement et de manière équilibrée. Les tor de l'oscillateur voyageur, s'induisent (s'émettent) réciproquement, consécutivement, de façon orthogonale et unidirectionnelle, conservant ainsi l'amplitude de propagation (longueur d'onde)
L'oscillation est pareille à un pendule dont l'amplitude entre en mouvement de rotation hélicoïdale perpétuelle et constante.