Variantes
de propulsion spatiale
La seule réalisation de la propulsion spatiale, semblait être
jusqu'à présent le réacteur réactif au gaz.
Nous sommes loin des possibilités de l'espace vectoriel, nous l'avons
dit depuis un demi-siècle.
Nous ne comprendrons pas la nature de l'espace, tant que nous resterons captifs
dans le dogme corpusculaire.
La solution optimale est l'interaction directe avec l'espace vectoriel.
Si un objet, en recevant une impulsion, peut imprimer une vague simple dans
l'espace vectoriel,
l'objet équipé de capteurs nous aidera à connaître,
reproduire et contrôler cette vague avec des moyens techniques autres
que l'impulsion.
Jusque-là, nous devons expérimenter graduellement, la qualité
de portance de l'espace vectoriel.
Hélicoptère spatial
Le rôle des pales rotatives sera remplacé par des disques rotatifs,
supportés par des leviers rotatifs.
Les disques rotatifs avec des mouvements de révolution autour d'un
axe central interagiront avec l'espace vectoriel,
avec les forces de portance.
Explication:
Le disque tournant est un gyroscope, mais le mouvement révolutionnaire
l'empêche de conserver sa position dans l'espace
et l'interaction est un couple de forces utiles.
Il reste à réaliser expérimentalement le plan du disque
rotatif, dans lequel on peut réaliser la force de portée optimale.
Propulsion avec jet d'ondes électromagnétiques
Un réflecteur parabolique avec un ensemble de contacts, entre lesquels
est déchargé
le courant alternatif, à haute tension, produisant un arc électrique.
Le réflecteur est recouvert d'un couvercle transparent électromagnétique.
L'intérieur du réflecteur est rempli de gaz ionique pour faciliter
les décharges électriques.
Cela crée un jet d'ondes électromagnétiques, émis
à la vitesse de la lumière.
Derrière le réflecteur géant se trouvent des cellules
photovoltaïques.