Panne électrique.
L'effondrement du réseau électrique européen démontre que notre
civilisation, selon la conception matérialiste, ignore le phénomène électrique.
Les particules matérielles, appelées courant de charge électrique, ne circulent
pas et ne se déplacent pas dans les conducteurs. Il n'y a pas de courant électrique !
Le phénomène dans le « conducteur » est une quantité vectorielle. Les polarités
vectorielles des atomes, orientées en direction et en sens, dans des circuits
orthogonaux fermés (règle de la main droite), sont appelées électrique et
magnétique, ou intensité et tension. L'identité des circuits vectoriels orthogonaux
fermés est démontrée par la loi d'Ohm : I = U, « électricité égale magnétisme ».
Cette interdépendance a été démontrée par Michael Faraday.
La conception matérialiste est pleine d'interprétations catastrophiques.
La matière est considérée comme la forme fondamentale de l'existence,
bien que la structure de l'atome présente une quantité vectorielle.
L'espace est considéré comme une forme d'existence de la matière,
qui tend à être une quantité vectorielle, démontrée par le rayonnement
électromagnétique – vectoriel. L'espace vectoriel est l'ensemble des
propriétés vectorielles dont les interactions constituent l'énergie, forme
fondamentale de l'existence de la nature, des structures appelées matière.
En revenant à la chute du réseau électrique espagnol, on peut trouver une
explication logique. Le réchauffement climatique est dû à l'électromagnétisme
Soleil-Terre. Les manifestations sont des phénomènes atmosphériques
appelés extrêmes. Les variations thermiques produisent des variations de la
pression des gaz atmosphériques et mettent la vapeur d'eau en mouvement,
générant des circuits vectoriels orthogonalement fermés, les cyclones, dans
l'espace vectoriel. Les forces vectorielles centripètes et rotationnelles
(électromagnétiques) dans ces circuits, les vortex, font tourner la matière sur
d'énormes surfaces. L'intensité de l'espace vectoriel, orientée par ces
mouvements, freine les oscillations de l'espace vectoriel (magnétique) autour
du réseau haute tension. Les circuits vectoriels orthogonalement fermés,
magnétique et électrique, disparaissent simultanément.
Ce phénomène
fait donc partie des phénomènes extrêmes, susceptibles de s'étendre.
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