Approximation
de la taille des électroides terrestres
- mesure télémétrique -
L'électroide a une structure de taille réelle et de forme sphérique.
L'électroide est la conséquence de l'interaction
entre la force électromagnétique centripète et la substance.
De toute évidence, l'électromagnétisme est interprété
comme
une énergie à propriétés vectorielles.
La force des vecteurs d'attraction (axiale) est supérieure à
la force de rejet (parallèle),
la différence étant la gravité de Newton.
L'électroide est déterminé par cette différence.
La force électromagnétique angulaire est l'effet de l'accélération
centripète
dans la substance, qui génère le potentiel électrique
radial.
Ce phénomène ne se produit pas à l'intérieur de
l'électroide (effet Meissner).
Par conséquent, l'électroide est l'essence des corps électromagnétiques
de l'univers.
Dans le cas de la planète Terre, le rayon de la sphère occupée
par l'électroide (R)
peut être approximé avec des dispositifs de télémétrie,
comme indiqué dans le dessin ci-dessous.
Les repères de mesure sont l'axe du magnétisme
et les fils conducteurs, parallèles les uns aux autres.
L'emplacement géométrique du mouvement de ces fils autour de
l'axe,
parallèlement à celui-ci, doit être un cylindre basé
sur le cercle de l'axe électrique.
Deux positions du fil conducteur, parallèle et colinéaire à
l'axe magnétique,
sont suffisantes pour déterminer le rayon de la sphère occupée
par l'électroide.
Le rayon recherché doit prendre des valeurs comprises entre 21,3 km,
la différence des diamètres équatorial et polaire et
600 km,
soit la moitié du diamètre approximé par les informations
sismiques.
Cette interprétation est très simplifiée, la réalité
étant une combinaison de forces centripètes.
Dans les zones polaires, le cercle des forces centripètes, la combinaison
des forces,
est réparti uniformément sur le fil à plomb, formant
la base d'un cône droit.
Ainsi, l'orientation du fil à plomb est concentrique avec le cercle
des forces centripètes.
Ainsi, l'accélération centripète prend la valeur optimale
maximale possible.
Pour l'équateur magnétique, le cercle des forces centripètes
devient plus incliné,
jusqu'à ce qu'il pénètre dans le même plan que
l'équateur magnétique.
Dans ce chevauchement, le cercle des forces centripètes atténue
mutuellement leurs forces,
l'accélération pour prendre la valeur minimale possible.
Ces résultats ont en équation la valeur du rayon recherché,
mais aussi la forme de l'électroide et même de la planète.